Mali, août 18 -- Alors que le président IBK est plus que jamais la cible du mouvement d'opposition M5-MFP qui réclame sa démission, voilà que plusieurs hauts responsables de l'armée et des services de renseignements se retrouvent sur la sellette…

Ces hauts gradés sont accusés par des experts de l'ONU d'avoir compromis l'application de l'accord de paix d'Alger, en dépit d'appels pressants de la communauté internationale pour résoudre la crise, et d'avoir indirectement provoqué des massacres de civils. Ces accusations émanent d'un rapport remis au Conseil de sécurité le 7 août dernier et qui a fuité dans la presse.

Le Monde Afrique notamment a pu s'en procurer une copie. Le Monde Afrique qui cite le cas du général Kéba Sangaré, chef d'éta...