Mali, novembre 6 -- Au cours de ces derniers mois, et que ce soit au Burkina Faso, au Niger ou encore au Mali, les groupes jihadistes ont infligé de lourdes pertes aux forces armées locales.

La derniére attaque en date, commise le 1er novembre contre le camp militaire d'In Delimane et revendiquée par l'État islamique, a fait au moins 49 tués parmi les soldats maliens.

Et c'est pourquoi la ministre des Armées, Florence Parly, a évoqué un « contexte sécuritaire dégradé » dans son communiqué relatif au décés, au combat, du brigadier Ronan Pointeau [1er régiment de Spahis], le 2 novembre, dans la région de Ménaka, prés d'In Delimane.

Pour autant, s'adressant aux militaires de la force Barkhane déployés à Gao [Mali] dans le cadre d'un dépla...