Mali, septembre 27 -- Depuis la démission du Président IBK le 18 août 2020, suite au coup d'Etat militaire, mené par le Comité national pour le salut du peuple (CNSP), soit bientôt un mois, le Mali vit sous embargo de la CEDEAO. Les conséquences de cette sanction se font de plus en plus sentir sur l'économie nationale, notamment dans les caisses du pays.

En effet, à la Direction générale des Douanes tout comme celle des Impôts, deux secteurs pourvoyeurs de ressources de l'Etat tirent sur la sonnette d'alarme, avec des pertes qui se chiffrent à plus de 6 milliards de FCFA.

Selon Abdoulaye Touré, chef Division gestion Grandes entreprises à la Direction générale des Impôts, les grandes entreprises maliennes sont durement affectées par cett...