Mali, mai 27 -- En ce moment précis de la vie de notre nation, un cafouillage politique est une hypothése que nul ne peut nier. Faire porter le chapeau à l'autre a toujours été le propre des politiques maliens. Des pointes malicieuses pour détruire.

Depuis l'élection du président de la République Ibrahim Boubacar Kéïta pour son second quinquennat à la téte de notre pays, les choses s'assombrissent, politiquement parlant. Des appels de contestation ont doublé, et les hommes politiques se livrent à une guerre verbale ou de verbes pour tenter de renverser la vapeur. En commençant par le chef de file de l'opposition, l'Honorable Soumaïla Cissé qui, faut-il le rappeler, avait catégoriquement nié la légitimité de son frére aîné pour des électi...