Chad, Décembre 4 -- Parler des incendies qui ravagent, année après année, les marchés de N’Djamena, c’est toucher une plaie ouverte, une douleur collective devenue routine. À chaque nouveau sinistre, les mêmes images : des colonnes de fumée noire, des commerçants effondrés, des ruines encore fumantes. Des marchés livrés au hasard, pas à la gestion publique Dans la capitale tchadienne, aucun grand marché n’a été conçu selon des standards urbanistiques contemporains. La plupart ne sont que des amas de boutiques accrochées les unes aux autres, montées au fil des années dans un désordre qui, aujourd’hui, se paie au prix fort. Ces « marchés traditionnels », qu’on brandit souvent comme symbole d’authenticité, sont surtout des pièges inflammable...
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