Chad, Juillet 28 -- La dynamique familiale en polygamie est complexe. Abakar, 50 ans et père de 12 enfants avec ses trois épouses à N'Djaména, affirme : "Je fais de mon mieux pour qu’ils aillent tous à l’école." Cependant, la bonne volonté paternelle ne suffit pas toujours à masquer les inégalités. Zara, sa deuxième épouse, confie avec amertume : "Quand l’enfant de la première femme est malade, il court à l’hôpital. Mais pour les miens, il dit toujours : 'attendons demain.'"
Cette impression d'injustice nourrit des tensions constantes au sein du foyer, qui se répercutent directement sur les enfants. Ces derniers grandissent souvent dans une atmosphère de jalousie et de méfiance. "À la maison, on n’est jamais unis. Chacun reste avec ...
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