Chad, Mars 29 -- Josué Aleva Zlawa a rappelé que la signature du contrat remonte au 20 janvier 2025, sans aucune consultation véritable et inclusive des communautés concernées, ni étude préalable sur les impacts environnementaux ou sociaux. Selon ses déclarations, cette situation constitue une violation des dispositions de la loi n° 024 du 22 juillet 1967 sur le régime de la propriété foncière et des droits coutumiers au Tchad.
Il a souligné que le projet prévoit la spoliation de 30 014 hectares de terres agricoles, mettant en danger les moyens de subsistance de milliers de familles paysannes. Cela pourrait entraîner une aggravation de la pauvreté, un accroissement de l'exode rural, des conflits communautaires potentiels et une insécu...
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