Chad, Juillet 28 -- De nombreux villageois quittent leur foyer pour fuir les tensions communautaires ou l'épuisement des terres, nourrissant l'espoir de trouver un emploi en ville. Des exemples comme Fatimé, une jeune femme du sud qui a abandonné son village quand la production de mil et sésame ne suffisait plus à nourrir sa famille, ou Moussa, un ancien éleveur du centre qui s'est installé en ville après un conflit lié à la transhumance, illustrent la diversité des raisons derrière ce mouvement.
Le flux migratoire pose une lourde pression sur les infrastructures urbaines, particulièrement à N’Djamena, la capitale. Les services publics sont saturés, et l’accès au logement, à l’eau, à l’éducation et à la santé devient de plus en plus ...
Click here to read full article from source
To read the full article or to get the complete feed from this publication, please
Contact Us.