Chad, Mai 11 -- Dans cette note, le ministre rappelle à ses collaborateurs, directeurs des hôpitaux et délégués provinciaux, qu'il est " formellement interdit de mettre à disposition de tout usager les statistiques relatives au nombre de blessés et de décès liés aux tirs de joie". Cette interdiction s'aligne sur les "orientations des plus hautes autorités du pays ".

 

La note ministérielle va plus loin en interdisant également " d'autoriser aux organes de presse et tout autre citoyen d'interroger ou de photographier les blessés dans les formations sanitaires sans autorisation expresse du Ministre de la Santé Publique et de la Prévention ".

 

Les motivations précises derrière ces restrictions n'ont pas été explicitées dans la note mini...