Chad, Mai 16 --  Ces dernières ont salué l'extradition et affirment leur détermination à traduire en justice non seulement Armel Sayo, mais également tous ceux qui sont liés à son groupe armé autoproclamé "Coalition militaire de salut du peuple et de redressement" (CMRSP), fondé en 2024. Le gouvernement centrafricain entend ainsi envoyer un message clair contre l'impunité des actes de violence et de déstabilisation.

Armel Sayo est accusé de plusieurs crimes, notamment en sa qualité d'ancien chef du CMRSP, mais aussi de détournement de fonds publics et de tentative de coup d'État.

Amnesty International, tout en prenant acte de ces accusations, demande à la justice d'étendre son enquête aux événements survenus depuis 2013. L'organisation ...