Chad, Mai 4 -- Le motif invoqué par de nombreux propriétaires est une préférence marquée pour les couples mariés. Bien que le droit au logement soit un droit fondamental à valeur constitutionnelle, visant à garantir un toit à chaque individu et reconnu par divers textes internationaux et constitutions nationales, cette réalité à N'Djaména semble contredire ces principes. Malheureusement, dans la capitale tchadienne, les propriétaires immobiliers jouissent d'une liberté apparente de choisir leurs locataires, et les femmes célibataires sont fréquemment exclues de cette équation. Francine, divorcée et mère de deux enfants, témoigne de son parcours difficile : "J'ai fait presque le tour de plusieurs quartiers à N'Djaména, et la questio...
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