Chad, Décembre 23 -- À la barre, l’avocat de la victime a soutenu que le prévenu avait poursuivi sa relation avec la mineure malgré l’opposition expresse de la famille. Il a estimé que les faits étaient établis et a sollicité une condamnation sévère, assortie du paiement de 60 millions de francs CFA à titre de dommages et intérêts.

De son côté, l’avocat de la défense a reconnu que son client n’avait pas nié les faits, mais a soutenu que la relation avait débuté avant toute intervention des parents. Il a affirmé que celle-ci se faisait avec le consentement de la jeune fille, bien que contre la volonté de sa famille. L’avocat a également soulevé des irrégularités dans les pièces produites par la partie civile, notamment l’acte de naissance...